Comment Raeliana a survécu au manoir Wynknght T. 4 - Par Milcha (...)

Comment Raeliana a survécu au manoir Wynknght T. 4 - Par Milcha & Whale - Kotoon

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Depuis qu’elle a été bénie par le grand prêtre Heika Demint en personne et présentée comme égale à la petite fille de ce dernier, Raeliana croule sous les invitations des nobles alentours. Pis encore, elle n’a jamais été aussi entourée d’hommes intéressés à l’idée qu’elle rompe ses fiançailles… Serait-ce le début d’un harem inversé ?

S’il était un homme que Raeliana n’avait pas encore rencontré, à raison, c’était bien le roi, frère de son fiancé. Mais le monarque, remis d’une tentative d’empoisonnement, compte bien découvrir celle qui semble chambouler l’ordre de son royaume, mais aussi et surtout le cœur de Noah, son cadet. C’est ainsi que notre héroïne se retrouve piégée au château sans autorisation royale de le quitter… Une belle cage, dorée certes, mais une cage quand même !

L’occasion pour la belle, malgré tout, de remettre de l’ordre dans ses idées et ses connaissances du roman qu’elle perturbe allègrement. Après avoir réussi à survivre aux tentatives de meurtre de son précédent soupirant, elle a pris la place de l’héroïne initiale en devenant la fiancée de Noah Winknight.

Ce dernier s’est montré plus prévenant que jamais et laissé supposer qu’il était en train de tomber amoureux ; ce qui ne manque pas de troubler Raeliana également, apeurée à l’idée que la véritable héroïne fasse enfin son apparition pour lui ravir cet homme qu’elle commence de plus en plus à aimer.

Milcha, va encore plus loin : il sème des hommes attirants sur le chemin de Raeliana. Ce qui permet à Whale de s’en donner à cœur joie dans son graphisme pour représenter ce bal des prétendants. Entre Noah, le roi, le grand prêtre, Keith aux services de la famille Winknight, le mystérieux Adam et Justin Shamall nouvellement apparu dans le récit... voilà de quoi perturber la jeune Raeliana, qui s’est déjà donnée pour mission de retrouver Béatrice, l’héroïne principale du roman d’origine...

(par Marc Vandermeer)

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