Suite et fin de cette épaisse chronique des luttes populaires, ce tome s’avère bien plus militant, surtout dans l’analyse des mouvements sociaux des 30 dernières années. Difficile de suivre Noiriel dans sa vision fantasmée du mouvement des gilets jaunes, mais la vigueur de son argumentation laisse tout de même place à une réflexion salutaire, tant dans l’évolution des gauches en France que dans la critique de la société de consommation.
Fin du XIXème siécle : l’Europe s’industrialise au triple galop et (...)