La scène se passe à Mexico City, où Fabien Vehlmann a ses habitudes. Venu au parc de Chapultepec pour se documenter sur les écureuils, Fabien a été sauvagement agressé par l’un d’eux qui l’a mordu à un endroit que la décence nous interdit d’écrire ici. Depuis, à ses prestations aux fêtes de la musique, il exécute sans peine un très joli contre-ut.
Furibard, il s’est rendu chez son éditeur pour lui dire qu’il voulait bien scénariser le nouveau Spirou (avec Yoann au dessin) mais qu’il était hors de question qu’il mette en scène l’un de ces animaux malfaisants. [1]
Devant le regard incrédule et quelque peu interdit de son éditeur, Sergio Honorez, il a rageusement déchiré son contrat en jurant qu’il ne remettrait plus les pieds dans cette « maison de fous ».
DP
En médaillon, Fabien Vehlmann, quelques secondes avant l’accident. Photo : D. Pasamonik.
IL N’EST PAS FRAIS, MON POISSON ?
Mais non, Fabien ne renoncera pas à Spirou, c’était un poisson d’avril. Un écureuil en forme de poisson. Surréaliste, isn’t ?
[1] On comprend sa fureur. Nous aussi, à ActuaBD, nous sommes régulièrement agressés par Spip.
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