Il est un centenaire dont on entendra parler cette année, c’est le Surréalisme dont le Manifeste développe des concepts qui ont eux, bon pied, bon œil. Surréaliste, Gen War l’est qui imagine un monde chaotique où jeunes et vœux sont à couteaux tirés !
Rien ne leur est épargné, chaque communauté sabotant l’autre, entre skates et déambulateurs, chacun y allant de ses avantages pour profiter des handicaps -nombreux- des cacochymes. C’est qu’elles sont retorses, les vieilles carcasses !
Mais heureusement pour les vioques, les jeunes ne sont pas très fûtés, affectés qu’ils sont par la malbouffe MacDo et KFC, rendus abrutis par le rap, les animés japonais et les réseaux sociaux. Et ne parlons pas du vote à gauche, les pauvres, ils ne sont pas gâtés !
Bref, l’action ne manque pas, les occasions de rire non plus. Attention cependant de ne pas ressasser les mêmes clichés, car si l’exercice est plaisant, il risque de s’épuiser rapidement et d’être remisé à maison de retraite, saperlipopette ! En attendant, on apprécie le spectacle.
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(par Didier Pasamonik (L’Agence BD))
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